Les futurs époux peuvent choisir un régime dotal, issu de la période romaine.
Vrai
Faux
Les futurs époux peuvent décider d’opter pour un régime de communauté légale, en précisant que toutes les décisions concernant les biens communs seront soumises à la cogestion, contrairement à l’article 1421 du Code civil qui dispose que les biens communs sont soumis à une gestion concurrente.
Vrai.
Faux.
Les futurs époux peuvent valablement convenir dans leur contrat de mariage que le fonds de commerce que monsieur compte créer, après le mariage, sera dans son lot, en cas de partage.
Vrai.
Faux.
Les futurs époux, ayant opté pour un régime de communauté, ne peuvent pas décider dans leur contrat de mariage qu’en cas de dissolution du mariage, 70% de la communauté reviendra à monsieur et 30% à madame.
Vrai
Faux
Si les futurs époux ne souhaitent pas choisir le régime légal, la convention matrimoniale peut être rédigée :
par acte devant notaire, en la présence et avec le consentement simultanés des futurs époux.
par acte sous-seing privé, en la présence et avec le consentement simultanés des futurs époux.
Lorsqu’un commerçant se marie,
le notaire doit, dans le délai d’un mois, souscrire une déclaration d’inscription modificative au registre du commerce et des sociétés.
le notaire est tenu d’un devoir de conseil et d’information sur la nécessité par le commerçant se mariant de procéder par lui-même une déclaration d’inscription modificative au registre du commerce et des sociétés.
le notaire est tenu d’aucun devoir, aucune formalité n’étant exigée.
Il ne peut être intenté une action en nullité du contrat de mariage pour dol.
Vrai, car en matière de mariage, trompe qui peut.
Faux.
Le contrat de mariage rédigé devant notaire :
peut être formé avant ou après le mariage.
peut être librement modifié après le mariage.
Le mineur émancipé peut procéder valablement à la conclusion d’un contrat de mariage :
Le mineur émancipé peut procéder valablement à la conclusion d’un contrat de mariage :
Le mineur émancipé peut procéder valablement à la conclusion d’un contrat de mariage :
avec l'assistance des personnes autorisant le mariage.
Quelles obligations entre époux subsistent en cas de séparation de fait ?
le devoir de fidélité
le devoir de respect
le devoir d'assistance
tous les devoirs réciproques des époux sont maintenus.
Quels sont les effets matériels de la séparation de corps ?
la dissolution et la liquidation du régime de la communauté
le droit à une prestation compensatoire
la suppression de la vocation successorale
Quels articles du code civil régissent la prestation compensatoire ?
Quels articles du code civil régissent la prestation compensatoire ?
les articles 266 et suivants
les articles 270 et suivants
Jusqu'à quel âge l'action en subsides est-elle permise ?
jusqu'à 15 ans
jusqu'à la majorité de l'enfant
Il n'y a pas de condition d'âge.
Quels présents peuvent être conservés en cas de rupture des fiançailles ?
les présents d'usage
les cadeaux les plus importants
les bijoux de famille
quelles est l'issue impossible d'une séparation de fait d'une durée de 6 mois de personnes mariées?
le divorce par consentement mutuel
le divorce pour faute
le divorce pour altération définitive du lien conjugal
la séparation de corps
Quels motifs de rupture des fiançailles sont légitimes ?
erreur sur la fortune
erreur sur la race
erreur sur la capacité à procréer
Quels sont les effets en France d'un mariage polygamique régulièrement célébré à l'étranger ?
les droits à réversion de retraite
les droits alimentaires
les droits successoraux
tous
Quel(s) mariage(s) est(sont) autorisés par la loi ?
le mariage entre un oncle et une nièce
le mariage entre un grand-oncle et une nièce
le mariage entre deux cousins
aucun
Le mariage prononcé en cas d'ignorance de l'existence d'un empêchement est-il valable ?
non, il est atteint d'une nullité absolue
non, il est atteint d'une nullité relative
oui, dans le cas où l'empêchement est susceptible de dispense
oui, à condition que le président de la République le confirme
En principe, un contrat peut être modifié :
A tout moment
A l'initiative d'une des parties
Avec l'accord des deux parties
Un contrat n'a pas d'effet à l'égard des tiers :
Vrai
Faux
Vrai, s'il a été fait dans leur intention
On dit qu'il y a inexécution du contrat lorsque celui-ci :
n'est exécuté que partiellement
n'est pas exécuté du tout
Les deux
L'inexécution du contrat entraîne sa :
Nullité
Rescision
Résolution
L'exécution forcée du contrat consiste à :
Contraindre le débiteur à exécuter son contrat
Demander le versement de dommages-intérêts
Les deux
L’article 1131 du code civil subordonne la validité d’une convention à :
Pour apprécier l’existence de la cause les juges tiennent compte :
du but immédiat qui a guidé chaque contractant.
du but lointain, personnel, qui a motivé chaque contractant.
Lorsqu’il s’agit d’apprécier l’existence de la cause on s’intéresse donc à :
la cause du contrat, objective et abstraite.
la cause de l’obligation, subjective et concrète.
la cause du contrat, subjective et concrète.
la cause de l’obligation, objective et abstraite.
Prenons un exemple concret : la cause objective du vendeur dans un contrat de vente de voiture est :
de livrer la voiture à l’acheteur.
de recouvrer la somme payée par l’acheteur.
d’utiliser la somme de la vente dans un but précis
Dans un contrat synallagmatique :
la cause objective de chacune des parties réside dans l’objet de l’obligation de l’autre.
la cause objective de chacune des parties réside dans l’objet de son obligation.
la cause objective de chacune des parties réside dans la cause subjective de l’autre.
Ces dernières années la jurisprudence a pu annuler pour absence de cause :
Lorsqu’il s’agit d’apprécier la licéité de la cause on s’intéresse à :
la cause du contrat, objective et abstraite.
la cause de l’obligation, subjective et concrète.
la cause du contrat, subjective et concrète.
la cause de l’obligation, objective et abstraite.
D’après l’article 1133 du code civil la cause d’un contrat doit, pour être licite, être conforme :
au comportement d’un bon père de famille.
à la loi, à l’équité et la morale.
à la loi, à l’ordre public et aux bonnes mœurs.
à l’ordre public aux bonnes mœurs et à la cause objective.